Je suis un monstre... Et tu seras l'apprenti du monstre ! {Pv : Petit Paradis}

Je suis un monstre... Et tu seras l'apprenti du monstre !
Un étrange poursuivant...

Il légère brise matinal naquis très haut, dans le ciel, et très vite, elle décendit dans une foret, faisant remué le feuillage de ses arbres. Remuant les herbes, rebroussant les poiles... Jusqu’à rebroussé les poiles d'un certain chat. Ce chat ouvrit un oeil ambré, grogna de mécontentement et ouvrit son autre oeil, qui lui, était vert. La brise revins a l'assaut et lui rebroussa de nouveau les poiles. Sur un coup de tête, le matou utilisa son don, en tâtonnant, il finis par changer la direction, et la conposition, de la brise pour qu'elle aille soufflé plus loin, sur la pouponnière en faite. Il essaya de se rendormir mais l'utilisation inconsidéré de son don l'en empêcha. Il avait envie de sang, de sang, de sang, de sang... Il secoua la tête, ce n'était pas le moment de sauté sur les guerrier endormi et de les écorché vif. Il le ferai peut-être un jour mais pas en ce moment, déjà que le Clan venait de perdre sa chef...! Il finit de s'étiré et sorti de la tanière des guerrier, passablement énervé. Heureusement, personne n'était réveillé et donc, personne ne mourrais de sa patte. C'est le poile ébouriffé qu'il sorti du camp, a la recherche de quelques proies qu'il pourrais torturé, pour calmé ses envies de meurtres. Après avoir parcouru quelques queue de renard, il se mit a courir. C'était surtout parce qu'il adorait cette activité qu'il était considéré comme le plus rapide du Clan ! Sans réfléchir un seul instant a sa direction, il se dirigea vers l'oeil de l'étang et s'arrêta en dérapage juste devant celui ci pour ne pas tombé dans l'eau. Alors qu'il s’apprêtait a chassé un ou deux mulot et de les torturé, il seti une odeur beaucoup plus excitante pou ses envies de meurtre, l'odeur d'un chat. Il n'attendit pas de savoir a quel Clan il appartenait, il fit un demi tour, plongea dans le fourré, fit un roulé boulé et faucha les pattes de sa malheureuse victime. Cette technique permettait a prendre l'adversaire par surprise et elle était de sa conception, autant dire u'il en était très fière. Il se releva et se tourna vers le chat qu'il avait pris pour cible. Autant dire qu'il fut surpris de découvrir un chaton, un chaton de son Clan, qui plus est ! Cela ne l'empêcha pas de le maintenir au sol quelques instant, pour l'effrayé. Mais il finit par se retirer, de peur que sa soif de sang devienne incontrôlable. D'une voie qu'il menaçante et en fixant durement le chaton, il miaula :

-Que fait-tu ici ? Tu sais que j'aurais put te tué de sang froid et dansé dans ton sang si tu ne faisait pas parti du Clan !

Oui, il aurait vraiment fait ça, et encore, s'il n'avait pas fait preuve d'imagination. Mais bon, laissons là ce qui aurais put être fait et concentrons plus tôt sur ce qui vas être fait.

Paradise

Il fait froid. Très froid. C'est comme si on m'entourait de glace. Où suis-je ? Où sont les autres ? Pourquoi suis-je tout seul ?
Le jeune chaton se réveilla en sursaut. Il était dans le pouponnière, un peu éarté des autres chatons. Son coeur battait à toute allure, et du vent froid s'engouffrait par l'entrée. Il soupire et râla un peu contre ce vent qui lui faisait des cauchemars, puis, comme il savait qu'il ne réussirait pas à se rendormir, il se leva. Il s'étira, se secoua, et sortit de la pouponnière. L'air vif fini complètement de le réveiller, et il s'en alla tranquillement vers la sortie du camp, regardant autour de lui pour voir si personne ne le voyait. Mais le camp était calme, tout le monde dormait encore.
Il marcha pendant un moment, sans vraiment savoir où aller. Il ne connaissait pas le territoire de l'eau par coeur, et n'en avait surement pas vu la moitié. Il parti dod'un côté où il n'était jamais allé. Les anciens lui avaient décrit la beauté d'une pierre sur l'étang, et il comptait l'admirer. L'oeil de l'étang, c'est comme ça qu'on l'appelait. Il était bientôt arrivé lorsqu'il se sentit soudain projeté contre le sol. Sans savoir quoi faire, il ouvrit de grand yeux apeurés, prêt à se battre s'il le fallait. Lorsqu'il reconnu le chat, il grogna. Ce n'était que Tire Ailé, un guerrier du clan. Il ne l'aimait pas. Le guerrier déclara :

- Que fait-tu ici ? Tu sais que j'aurais put te tuer de sang froid et danser dans ton sang, si tu ne faisais pas partie du Clan !

Avec une moue boudeuse, Petit Paradis se dégagea et grogna au guerrier :

- C'est pas tes oignons.

La petite boule de poile se dégagea tant bien que mal et grogna, une moue boudeuse sur le visage :

-C'est pas tes oignons !

L'envie de sang se fit plus forte, et a elle s'ajouta l'envie de rabattre son caquet a cet odieux chaton. Il avait grandement envie d'égorger le petit, oui, tellement envie... Non ! Il devait gardé le contrôle ! S'il tuait ce chaton, il ne pourrait jamais devenir chef ! Son combat intérieur dura quelques minutes puis, il repris le contrôle de lui même. Après une longue expiration, il regarda le chaton. La colère brillait dans ses yeux, et la folie la rejoignait. Furieux, autant contre lui même que contre le petit, il cracha :

-Je ne sais pas si tu me connais, mais sache que chaque fois que j'utilise mon don, j'ai grandement besoin de tué quelqu'un ! On peut dire que tu tombe au mauvais moment !

Sa voie était devenu menacent, et, presque inconsciemment, il s'était avancer sur le petit. Ses yeux était a nouveau voiler par l'envie de sang, ce qui était assez dangereux pour le petit.

Paradise

Le matou lui lança un regard menaçant. Pendant plusieurs minutes, il ne bougea pas. Petit Paradis supposa qu'il était fou. Il avait déjà entendu dire qu'il était bizarre, mais il ne pensait pas qu'il aurait pu avoir des troubles aussi long. Lorsqu'il revient sur terre, il eut l'air encore plus menaçant. Ses paroles firent frissonner le petit chaton blanc.

-Je ne sais pas si tu me connais, mais sache que chaque fois que j'utilise mon don, j'ai grandement besoin de tuer quelqu'un ! On peut dire que tu tombes au mauvais moment !

Tentant de contrôler le peur qui montait en lui, Petit Paradis recula. Il espérait s'enfuir assez rapidement avant que le grand guerrier puisse l'attaquer. Il n'était pas fier, non. Mais il faisait tout pour le cacher.